Malgré une température pouvant descendre jusqu’à -51°C, environ 50 000 Esquimaux vivent dans les zones arctiques d’Amérique du Nord et du Groenland. Il y en a à peu près 2 000 en Sibérie également, qui constitue la partie russe de l’Arctique.
Braver l’hostilité climatique de l’Arctique
Dans cette région hostile du globe, l’année se divise en 6 mois de jour et 6 mois de nuit, et en été, la température moyenne ne dépasse pas les 10°C pour tomber par la suite au-dessous de 0°C en début de soirée. Si la neige arrive à fondre assez tôt dans la région méridionale, le sol, au-dessous de la surface, reste gelé en permanence : c’est ce phénomène que les scientifiques appellent le permafrost. Malgré cela, une centaine de variétés de plantes parmi les plus vigoureuses se développent pendant le court été arctique.
Nourriture et soins…
Depuis toujours, les Esquimaux ont puisé dans les ressources naturelles pour assurer leur subsistance, se nourrissant ainsi de poisson, de viande d’ours, de phoque et de caribou. Aujourd’hui, les transports rapides leur permettent d’importer des denrées qu’on ne retrouve pas sur leurs terres hostiles. Les produits de la chasse et de la pêche constituent toujours une bonne part de la nourriture des Esquimaux. Grâce aux procédés de salage et de séchage, ces aliments peuvent être conservés très longtemps. Ils sont par ailleurs très riches en protéines et en graisses, nécessaires pour lutter contre la rigueur du climat.
Autrefois, les Esquimaux se soignaient principalement selon des méthodes ancestrales avec des préparations à base de plantes. Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes partent étudier la médecine dans les grandes universités canadiennes, américaines, russes ou danoises pour ensuite revenir exercer chez eux. Comme il est coutume dans les contrées reculées, certains microbes sont arrivés chez les Esquimaux en même temps que les premiers étrangers venus explorer l’Arctique, bouleversant pendant plusieurs décennies l’équilibre sanitaire mais aussi alimentaire de ce peuple qui brave les caprices de Dame Nature pour conserver son mode de vie si singulier…
Malgré une température pouvant descendre jusqu’à -51°C, environ 50 000 Esquimaux vivent dans les zones arctiques d’Amérique du Nord et du Groenland. Il y en a à peu près 2 000 en Sibérie également, qui constitue la partie russe de l’Arctique.
Braver l’hostilité climatique de l’Arctique
Dans cette région hostile du globe, l’année se divise en 6 mois de jour et 6 mois de nuit, et en été, la température moyenne ne dépasse pas les 10°C pour tomber par la suite au-dessous de 0°C en début de soirée. Si la neige arrive à fondre assez tôt dans la région méridionale, le sol, au-dessous de la surface, reste gelé en permanence : c’est ce phénomène que les scientifiques appellent le permafrost. Malgré cela, une centaine de variétés de plantes parmi les plus vigoureuses se développent pendant le court été arctique.
Nourriture et soins…
Depuis toujours, les Esquimaux ont puisé dans les ressources naturelles pour assurer leur subsistance, se nourrissant ainsi de poisson, de viande d’ours, de phoque et de caribou. Aujourd’hui, les transports rapides leur permettent d’importer des denrées qu’on ne retrouve pas sur leurs terres hostiles. Les produits de la chasse et de la pêche constituent toujours une bonne part de la nourriture des Esquimaux. Grâce aux procédés de salage et de séchage, ces aliments peuvent être conservés très longtemps. Ils sont par ailleurs très riches en protéines et en graisses, nécessaires pour lutter contre la rigueur du climat.
Autrefois, les Esquimaux se soignaient principalement selon des méthodes ancestrales avec des préparations à base de plantes. Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes partent étudier la médecine dans les grandes universités canadiennes, américaines, russes ou danoises pour ensuite revenir exercer chez eux. Comme il est coutume dans les contrées reculées, certains microbes sont arrivés chez les Esquimaux en même temps que les premiers étrangers venus explorer l’Arctique, bouleversant pendant plusieurs décennies l’équilibre sanitaire mais aussi alimentaire de ce peuple qui brave les caprices de Dame Nature pour conserver son mode de vie si singulier…